Atelier Alexandre Lowie

Long Play, meuble avec bureau pivotant destiné à un amateur de musique et pouvant accueillir une collection de vinyles, une chaîne stéréo et des hauts-parleurs. En bois de citronnier massif, placage de citronnier, laque bleue, acier et roues en laiton.
[caption id="attachment_22614" align="alignnone" width=""]© ALEXANDRE POPELIERLong Play, meuble avec bureau pivotant destiné à un amateur de musique et pouvant accueillir une collection de vinyles, une chaîne stéréo et des hauts-parleurs. En bois de citronnier massif, placage de citronnier, laque bleue, acier et roues en laiton.[/caption]

Formé à l’école secondaire artistique Saint-Luc Tournai, ce créateur trentenaire, passionné par les techniques d’ébénisterie anciennes, donne un nouvel élan au mobilier contemporain.

Studio Aisslinger

Werner Aisslinger (détail)
[caption id="attachment_22788" align="alignnone" width=""]© DRWerner Aisslinger (détail)[/caption]

Né en 1964, ce Berlinois a fondé son agence, Studio Aisslinger, en 1993. Ex-collaborateur des designers Ron Arad et Jasper Morrison à Londres et, par ailleurs, professeur et enseignant dans diverses écoles de design il a été honoré par de multiples prix. 

Studio Julian Appelius

Les Brunis, adaptation de la chaise Le Bruno, avec tablette et extension du piètement
[caption id="attachment_22813" align="alignnone" width=""]© Studio Julian Appelius  Les Brunis, adaptation de la chaise Le Bruno, avec tablette et extension du piètement[/caption]

Né en 1973, ce Munichois a grandi en France et en Allemagne. Il a commencé par travailler le bois, dans un atelier d’ébénisterie avant d’entreprendre des études de sculpture à l’Académie des Beaux-Arts de Munich.

Osko + Deichmann

Basius Osko et Oliver Deichmann proposent des créations qui tendent vers des usages universels
[caption id="attachment_22815" align="alignnone" width=""]© Chiara BonettiBasius Osko et Oliver Deichmann proposent des créations qui tendent vers des usages universels[/caption]

Dans les années 1990, ils étaient tous deux attirés par l’énergie de Berlin, ville autrefois divisée qui absorbait les jeunes créateurs du monde entier.

Maison Rapin

© DR

On avait commencé par remarquer ses boîtes en laiton et verre tur-quoise, créations baroques au parfum seventies ; puis, ses commo-des qui n’étaient pas sans rappeler le Milan des années Gio Ponti, mais avec quelque chose en plus dans ce revêtement de verre si in-habituel.