Claire Laffut, esthète pop

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Jeune artiste belge exilée à Paris, Claire Laffut est l’une des révélations pop de l’année 2018. À 22 ans à peine, et en seulement trois singles, dont un aux côtés de Fakear, elle s’impose donc parmi ces artistes que l’on tient à défendre dans cette rubrique dédiée à la scène locale.

Esinam, fille électrique

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Autoproclamée « femme-orchestre », Esinam Dogbatse séduit avec un premier EP qui fusionne les genres et les époques, et pullule autant de rythmes afro et latino que d’arrangements jazz. C’est dire si, la jeune Bruxelloise, s’impose illico parmi ces artistes que l’on tient à défendre dans cette rubrique dédiée à la scène locale.

Glauque – L’urgence de dire

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Depuis Namur, les cinq potes de Glauque mettent son un rap hybride (comprendre : qui n’en est pas vraiment un), qui leur a récemment permis d’effectuer quelques dates en Belgique, mais également d’être en finale du Concours Circuit organisé au Botanique. C’est dire s’ils avaient leur place dans cette rubrique dédiée à la nouvelle scène locale.

Condore – Touche de grâce

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Échappée de Dan San, la claviériste Léticia Collet fait dans la dentelle pop avec un premier EP (Jaws) à entendre comme une collection de ballades à la pureté désarmante. C’est dire si ce projet en solitaire avait toute sa place dans cette rubrique dédiée à la nouvelle scène locale.

Glints – Rap à part

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Ce n’est plus un secret : le hip-hop trouve un nouveau souffle à travers toute la Belgique. C’est donc depuis Anvers que Glints déploie son rap hybride, porté par un univers cinématographique, des clins d’œil à Ennio Morricone et un flow nonchalant qui lui permet de trouver sa place dans cette rubrique dédiée à la nouvelle scène locale.

Saskia – Cœur sensible

© Saskia

Elle n’a ni le buzz d’Angèle, ni la productivité d’un Damso, mais Saskia s’impose déjà depuis Bruxelles comme l’une des voix belges à suivre dans les prochaines années. D’où sa présence dans cette rubrique dédiée à la nouvelle scène locale.

Lous and The Yakuza : « Exprimer sa colère musicalement, c’est humain, ça défoule ! »

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Plutôt que de parler de la nouvelle scène locale, Eventail.be a décidé de donner carrément la parole à ceux qui risquent de secouer le paysage musical belge ces prochaines années. À l’image de Lous and The Yakuza, entité derrière laquelle se cache Marie-Pierra, une artiste de 23 ans déjà dans le cœur des mélomanes avec son premier single, Dilemme.

Blu Samu : « La musique, c’est une thérapie »

© Rayan Nohra

Plutôt que de parler de la nouvelle scène locale, Eventail.be a décidé de donner carrément la parole à ceux qui risquent de secouer le paysage musical belge ces prochaines années. Blu Samu en fait partie. Et son dernier EP, « Ctrl-alt-del », partagé entre rap et chant, entre nervosité et douceur, en atteste avec un savoir-faire mélodique évident.

Isha : « La musique est un exercice thérapeutique »

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Plutôt que de parler de la nouvelle scène locale, Eventail.be a décidé de donner carrément la parole à ceux qui risquent de secouer le paysage musical belge ces prochaines années. Isha, lui, participe à ce dynamisme depuis plusieurs années, en groupe ou en solo avec la série d’albums La vie augmente. Nous l’avons rencontré à l’occasion de la sortie du troisième volume et en marge de son concert à l’Ancienne Belgique le 14 mars prochain, porté par des conflits intérieurs et un sens de la narration assez rare.

Glass Museum, la rencontre du jazz et des musiques électroniques

© Barthélemy Decobecq

Plutôt que de parler de la nouvelle scène locale, Eventail.be a décidé de donner carrément la parole à ceux qui risquent de secouer le paysage musical belge ces prochaines années. Glass Museum est de ceux-là : après un premier album ancré dans le jazz (Deux), les deux Belges amènent davantage d’électronique dans leur formule avec Reykjavik, un deuxième album où chaque « morceau est inspiré par un élément naturel ».