La sinistrose est mauvaise camarade. Et je ne suis pas de ceux qui encouragent au pessimisme ou à la fatalité. Mais ici, nous serons tous d’accord pour dire que cette saison estivale est loin d’être un grand cru. Ou alors au sens propre : “cru”, comme la météo, avec un juillet record en précipitations assorti des conséquences que l’on connaît. “Cru” comme ces chiffres du coronavirus qui, certes, ne remontent pas de façon flagrante, mais se stabilisent à 500 patients traités dont 150 en soins intensifs. “Cru” enfin comme ces bilans dramatiques des récents feux de foret, de la Grèce à la Californie en passant par la Turquie ou certaines régions d’Italie.
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Dans la Cour des Grands : Elizabeth II is down
Avez-vous déjà fait ce rêve étrange d’assister à vos propres funérailles ? Les mines chiffonnées de vos amis, dans la brume matinale, arrivant en se frottant mes mains sur le parvis de l’église ; les chants, l’encens et les mots de vos proches à l’autel. Des souvenirs amusés sur les lèvres des uns, de la tristesse dans les yeux des autres. Tout cela, Elizabeth d’Angleterre l’a sans doute vécu ces derniers jours. Désormais veuve, la Reine voit les regards de tous les observateurs fondre sur elle : comment vit-elle la disparition de son époux en avril dernier ? Souhaitera-t-elle poursuivre encore l’œuvre de sa vie dans les mois et années à venir ? A-t-elle encore le “kick” ?
Dans la Cour des Grands : « J’aurais voulu être une artiste »
C’est l’une des confidences troublantes qu’a révélé un proche de la princesse Elisabeth dans le portrait que nous lui avions consacré en télévision le 14 octobre dernier. La fille des souverains, lorsqu’elle était enfant, aurait voulu être une artiste. « Mais, ajoute-t-elle, je ne peux pas parce que je devrai être Reine ». Quelle erreur…
Dans la Cour des Grands : Charlène de Monaco, un mystérieux cache-cache
C’est devenu une saga à multiples rebondissements : où se trouve donc – et dans quel état – la princesse de Monaco ? Depuis des semaines, le Palais princier joue au chat et à la souris avec une presse friande de vérité, et qui à défaut n’hésite pas à spéculer sur la vie que mène aujourd’hui l’épouse d’un prince bien mal à l’aise face à cette situation. Il me laisse l’impression d’un homme seul, à la dérive, accroché à un mini-rocher au beau milieu d’un océan de rumeurs. Dieu que je comprends son embarras face à une situation si difficile à maîtriser.
Dans la Cour des Grands : Amalia et les garçons
Le moins que l’on puisse dire, c’est que la presse belge en a été pour ses frais ces derniers jours après les rumeurs de relations amoureuses d’Amalia, 18 ans, l’héritière du trône d’Orange. Nous avons tous jeté notre dévolu de confiance sur les gossips sud-américains qui annoncaient à grandes sentances définitives une liaison présumée entre la princesse d’Orange et le fils ainé du Roi des Belges, Gabriel. Le tableau était en effet parfait : une héritière et un beau prince belge d’origine allemande, unis par l’amour au-delà de leurs territoires. D’autant plus que la jeune altesse avait déclaré dans une biographie-la première la concernant- qu’elle aimait les « jeunes allemands » car ils sont plus galants et mieux élevés. Bref, cette idylle présumée était du miel.