Invariablement souriant, le prince Guillaume de Luxembourg a multiplié ces derniers mois les rencontres avec le peuple luxembourgeois. Il a pu mesurer une popularité au beau fixe, un cadeau idéal pour ses quarante ans qu’il célébrera ce 11 novembre.
Gotha : Chroniques royales
Wilhelm-Alexander et Maxima chez Harald et Sonja
Visite chaleureuse, éminemment amicale et pourtant très officielle pour les souverains bataves venus rencontrer leurs homologues norvégiens.
Humeur gotha : Dérives et embarras, les soucis de nos monarchies
Une fois n’est pas coutume, titillé par les comportements des uns et des autres, notre spécialiste gotha, Christophe Vachaudez, se lache et se livre à l’excercice du billet d’humeur. Dans son collimateur : le duc d’York, les ducs de Sussex, la princesse Delphine de Belgique et la famille royale roumaine….
Dans la Cour des Grands : Charlène de Monaco, un mystérieux cache-cache
C’est devenu une saga à multiples rebondissements : où se trouve donc – et dans quel état – la princesse de Monaco ? Depuis des semaines, le Palais princier joue au chat et à la souris avec une presse friande de vérité, et qui à défaut n’hésite pas à spéculer sur la vie que mène aujourd’hui l’épouse d’un prince bien mal à l’aise face à cette situation. Il me laisse l’impression d’un homme seul, à la dérive, accroché à un mini-rocher au beau milieu d’un océan de rumeurs. Dieu que je comprends son embarras face à une situation si difficile à maîtriser.
Felipe et Letizia d’Espagne, visite d’état en Suède
Les voyages officiels ont repris leur cours même si celui que devait effectuer le roi Philippe et la reine Mathilde vient d’être annulé. Cette fois, c’est le roi Felipe VI et la reine Letizia qui ont répondu à l’invitation des souverains suédois, désireux de renforcer les liens culturels et économiques entre les deux pays.
Les hôtels Raffles s’offrent une campagne royale
En matière de communication, les hôtels de luxe Raffles ont frappé fort en sollicitant quelques figures issues d’illustres lignées. Jamais, on n’avait autant parlé de cette chaîne de prestige dont l’histoire commença en quelque sorte avec le Raffles Hotel de Singapour qui ouvrit ses portes en 1887, baptisé d’après Thomas Stamford Raffles, fondateur de la ville.bConfiée aux soins du réalisateur britannique Peter Greenaway, l’aventure se révéla pleine de surprises.
Alessandra de Osma, princesse et créatrice
Voici presque quatre ans que Christian de Hanovre a épousé Alessandra de Osma, à Lima, au Pérou. Beauté latine à la tête bien faite, elle a fait chavirer le cœur du au premier regard. Aujourd’hui, elle a intégré ce lignage millénaire en apportant un souffle nouveau, combinant la tradition familiale à une vie professionnelle active, reflet parfait de la princesse du XXIe siècle.
Amalia des Pays-Bas au Conseil d’État !
Non, Amalia n’a pas été convoquée pour régler un différend grave mais comme tout héritier atteignant l’âge de 18 ans, la princesse a pu intégrer le conseil d’État lors d’une session spéciale et plutôt informelle. Accompagnée de ses parents et mitraillée par la presse, elle a fait des premiers pas assurés dans un rôle auquel elle s’est préparée et qui va sans nul doute s’intensifier au fil des mois.
Pleine brassée de vœux royaux
La tradition de la carte de voeux serait née en Grande-Bretagne, en plein milieu du XIXe alors que la lithographie et le timbre-poste voient le jour. D’abord consacrée uniquement à la fête de Noël, on l’utilise aussi bientôt pour envoyer souhaits de bonheur et de prospérité à l’occasion de l’an neuf. Supplantée par les avancées technologiques, la carte de vœux subsiste, résistant contre vents et marées. Les familles royales ont depuis longtemps succombé à cette tradition qu’elles font perdurer aujourd’hui encore, revigorant liens amicaux et familiaux à travers le monde.
Dans la Cour des Grands : Amalia et les garçons
Le moins que l’on puisse dire, c’est que la presse belge en a été pour ses frais ces derniers jours après les rumeurs de relations amoureuses d’Amalia, 18 ans, l’héritière du trône d’Orange. Nous avons tous jeté notre dévolu de confiance sur les gossips sud-américains qui annoncaient à grandes sentances définitives une liaison présumée entre la princesse d’Orange et le fils ainé du Roi des Belges, Gabriel. Le tableau était en effet parfait : une héritière et un beau prince belge d’origine allemande, unis par l’amour au-delà de leurs territoires. D’autant plus que la jeune altesse avait déclaré dans une biographie-la première la concernant- qu’elle aimait les « jeunes allemands » car ils sont plus galants et mieux élevés. Bref, cette idylle présumée était du miel.