
La presse allemande qui couvre l’affaire portée devant les tribunaux comprend mal qu’un testament daté de 1943 peut influer de façon aussi contraignante le destin du prince Gustave de Sayn-Wittgenstein-Berleburg.
La presse allemande qui couvre l’affaire portée devant les tribunaux comprend mal qu’un testament daté de 1943 peut influer de façon aussi contraignante le destin du prince Gustave de Sayn-Wittgenstein-Berleburg.
Si le palais a publié de nouveaux portraits officiels à l’occasion de cet anniversaire rond, les célébrations se sont résumées à un chaleureux repas de famille. Difficile d’imaginer que Rania de Jordanie, icône des revues de mode, vient de passer le cap de la cinquantaine.
Charlène s’entrainait depuis des semaines, bravant les flots de la Méditerranée au large de la forteresse de Calvi. Ce week-end, elle a relevé le défi qu’elle s’était fixé, à savoir relier cette ville de Haute-Corse à Monte-Carlo, fendant les flots sur sa drôle de machine.
Et si le destin de toute une nation ne tenait qu’à un cœur ? Fragile, certes, comme le fut celui de Baudouin Premier. Si ce cœur n’avait flanché, au soleil couchant de Motril, en ce 31 juillet 1993, peut-être notre royaume serait-il resté celui du roi tranquille.
Née le 18 septembre 1970 à Genève, la princesse Zahra, fille unique de l’Aga Khan IV et de la begum Salimah a choisi de s’investir depuis de nombreuses années aux côtés de son père dans la gestion de sa Fondation dédiée aux Ismaéliens.
C’est en l’abbaye Saint-Maurice de Clervaux qu’a eu lieu le baptême du prince Charles, fils des grands-ducs héritiers Guillaume et Stéphanie de Luxembourg.
D’ordinaire accommodants, les néerlandais commencent vraiment à grincer des dents devant les dépenses inconsidérées de la famille royale. La dotation de la princesse Amalia qui va bientôt fêter ses 18 ans semble avoir été l’élément déclencheur.
Disparue en 2019, à près de 100 ans, Jayne Wrightsman laisse un énorme vide dans le monde de la philanthropie. Des années durant, elle et son époux Charles, furent de munificents bienfaiteurs, patronnant le Metropolitan Museum avec une constance et un instinct sans doute uniques dans l’histoire de la vénérable institution.
Quel monde merveilleux que celui des monarchies : nul besoin de romanciers pour nous dessiner des récits qui dépassent souvent l’audace de la création.
Au terme d’un procès à la surmédiatisation pesante, l’heure serait-elle enfin à l’apaisement ? L’initiative du roi Philippe de rencontrer sa demi-sœur semble l’annoncer.