
“Les créations de ce restaurant mêlent les du chef Cyril Lignac, originaire de l’Aveyron, à ses découvertes asiatiques. La carte est courte, inventive, en phase avec les produits de saison.

“Les créations de ce restaurant mêlent les du chef Cyril Lignac, originaire de l’Aveyron, à ses découvertes asiatiques. La carte est courte, inventive, en phase avec les produits de saison.

“Le premier restaurant de mon ami Jean- François Piège qui, comme moi, est passé par le Louis XV, à Monaco. Clover signifie “trèfle”, en anglais, un porte-bonheur qui jalonne la vie de Jean-François et de son épouse Elodie.

“J’aime particulièrement cet établissement lancé par Delphine Plisson, où je retrouve mes produits favoris.

“Mes pâtisseries préférées avec des produits de saison.

“Ce restaurant est à deux pas de chez moi et c’est un peu ma cantine. Le cadre est à l’image de la cuisine proposée par les maîtres des lieux, Yann Le Pevedic et Sébastien Guillo : simple, convivial et authentique.

“J’ai découvert par hasard ce bistrot installé dans le charmant passage des Panoramas : en passant devant, j’ai reconnu un ancien serveur d’un restaurant que j’adorais.

“Je l’ai connu quand il était le chef personnel de Kenzo. Il y a dix ans, il a ouvert son restaurant où je dîne quelquefois. Toyo propose une excellente cuisine japonaise, créative mais avec toujours des produits frais, une cuissonparfaite et une présentation des plats irréprochable, ce qui compte beaucoup au Japon.

“Cette maison a une histoire vieille de près de cinq siècles. Son commerce de la pâtisserie débute au milieu du XVIe siècle. En 1980, elle a ouvert un salon de thé à Paris, où je vais souvent déjeuner. La décoration a étéfaite par mon ami l’architecte Tsuyoshi Tane.

“Cet endroit est unique. C’est la plus ancienne chocolaterie de Paris ! Elle a été fondée en 1761. Avec ses vieux comptoirs en bois et ses carreaux anciens, la décoration de la boutique est irrésistible, tout comme ses confiseries.

L’endroit tenait du rendez-vous pour initiés. Dans une petite rue près de l’Elysée se trouvait un restaurant discret à l’étonnant décor du XVIIIe siècle. Son nom cultivait aussi le mystère : 1728.