120 battements par minute, le film-choc de Robin Campillo

© Céline Nieszawer

Il espérait être au Festival du Film de Cannes alors qu’il terminait le mixage du film. Au final, « 120 battements par minute » a obtenu le Grand Prix. Ce film magnifique met en scène la lutte de l’association Act Up Paris contre le sida au début des années 90, ce collectif dont beaucoup de membres sont séropositifs et certains très malades.

Quand la Polestar 1 se monnaie avec de l’art

La Polestar 1 peut désormais s'échanger contre de l'art
[caption id="attachment_26106" align="alignnone" width=""]© PolestarLa Polestar 1 peut désormais s’échanger contre de l’art[/caption]

Cette initiative unique en son genre, fruit d’une collaboration avec Theodor Dalenson, conseiller artistique de renommée internationale, permet aux artistes et aux collectionneurs d’échanger des œuvres d’art contre une Polestar 1.

Condore – Touche de grâce

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Échappée de Dan San, la claviériste Léticia Collet fait dans la dentelle pop avec un premier EP (Jaws) à entendre comme une collection de ballades à la pureté désarmante. C’est dire si ce projet en solitaire avait toute sa place dans cette rubrique dédiée à la nouvelle scène locale.

François Damiens : « L’humour permet de rendre les choses viables »

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François Damiens revient, dans « Ôtez-moi d’un doute », une comédie décalée sur la question des origines familiales. Erwan, un démineur de profession, veuf, bientôt grand-père découvre que son père (Guy Marchand) n’est pas son vrai père. Son enquête identitaire le mène à un vieux juif gauchiste (André Wims), papa d’Anna (Cécile de France), une jeune médecin célibataire. La réalisatrice Carine Tardien déplie avec finesse les multiples secrets de cette famille apparemment sans histoires. Voilà une comédie joyeuse sur un sujet pourtant grave qu’est la recherche des identités. Avec un François Damiens alias Erwan très inspiré qui, plus est, tombe amoureux d’Anna (Cécile de France), sa demi-sœur…

Première exposition à Beersel pour LKFF Art Projects !

C’est avec beaucoup de fierté que LKFF Art Projects, précédemment basée à Bruxelles, va enfin rouvrir les portes de l’ancienne maison communale de Beersel (construite en 1781), qui abritera désormais sa galerie d’art contemporain, après de nombreux mois de rénovation. Pour cette (ré)ouverture, une première exposition a été conçue autour de la (nature d’une) “présence”. 

Glints – Rap à part

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Ce n’est plus un secret : le hip-hop trouve un nouveau souffle à travers toute la Belgique. C’est donc depuis Anvers que Glints déploie son rap hybride, porté par un univers cinématographique, des clins d’œil à Ennio Morricone et un flow nonchalant qui lui permet de trouver sa place dans cette rubrique dédiée à la nouvelle scène locale.

Adèle Exarchopoulos, amoureuse dans « Le fidèle »

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Entre Gino (Matthias Schoenaerts) et Bib (Adèle Exarchopoulos), la passion est totale. Sauf que Gino a une autre vie qui menace tout le monde. Bibi l’aimera jusqu’au bout. D’un amour absolu, fidèle. Adèle Exarchopoulos et Matthias Schoenaerts sont incandescents dans leur amour infernal sur fond de grand banditisme. Le film belge signé Michaël R. Roskam représentera la Belgique aux Oscars 2018.

Un lieu inédit pour le lancement de la Grège Gallery

Le Round Bouw, premier lieu d'exposition de prestige pour la jeune Grège Gallery
[caption id="attachment_26342" align="alignnone" width=""]© DRLe Round Bouw, premier lieu d’exposition de prestige pour la jeune Grège Gallery [/caption]

C’est une appétence insatiable du beau et du brute, une passion pour les imperfections et un esprit authentique qui définit la Grège Gallery fondée par Marie de Brouwer. Pour son inauguration, la Grège Gallery investit le Ronde Bouw un bâtiment unique en Belgique datant du 19e siècle, situé au coeur du domaine du château de Westmalle.

Saskia – Cœur sensible

© Saskia

Elle n’a ni le buzz d’Angèle, ni la productivité d’un Damso, mais Saskia s’impose déjà depuis Bruxelles comme l’une des voix belges à suivre dans les prochaines années. D’où sa présence dans cette rubrique dédiée à la nouvelle scène locale.

Nicolas Duvauchelle et Catherine Deneuve dans « Tout nous sépare »

© Vertigo Films Distribution

Nicolas Duvauchelle, coup de cœur du 32ème Festival International du Film Francophone de Namur (FIFF), était aussi venu présenter « Tout nous sépare » de Thierry Klifa. Nicolas Duvauchelle est Rodolph. Petite frappe, il est l’amant de Julia (Diane Kruger) à qui il procure sa drogue quotidienne. Louise (Catherine Deneuve) veut écarter sa fille de Rodolph. Thierry Klifa a signé un film noir qui n’épargne pas la violence.