Dans la Cour des Grands : Baudouin aurait eu 90 ans

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[caption id="attachment_24592" align="alignnone" width=""]© Photo NewsLe roi Baudouin et un balayeur de rue[/caption]

Et si le destin de toute une nation ne tenait qu’à un cœur ? Fragile, certes, comme le fut celui de Baudouin Premier. Si ce cœur n’avait flanché, au soleil couchant de Motril, en ce 31 juillet 1993, peut-être notre royaume serait-il resté celui du roi tranquille.

Dans la Cour des Grands : Un roi au pays des merveilles !

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[caption id="attachment_24769" align="alignnone" width=""]© Dario Pignatelli/Polaris/Photo News[/caption]

Quel monde merveilleux que celui des monarchies : nul besoin de romanciers pour nous dessiner des récits qui dépassent souvent l’audace de la création.

Dans la Cour des Grands : Le Roi Donald !

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Incontestablement, ce mois de novembre est américain. La bannière étoilée a-t-elle pour autant brillé de tous ses astres, quand on voit le cirque médiatique que nous a offert le toujours plénipotentiaire Donald Trump ? Demandes de recomptage, puis d’arrêt des comptages, recours multiples en justice, il ne nous aura rien épargné. Un far-West moderne chez l’oncle Sam, qui aurait sans doute pu s’en passer s’il n’avait été … un royaume. C’est une obsession chez lui, me retoquerez-vous ! Eh bien oui. Et j’assume, d’autant plus que pointe ici un début de vérité.

Dans la Cour des Grands : Le délicieux Noël des Windsor

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Décidément, ce satané covid nous aura tout sapé. Même les plus anciennes traditions. Ainsi donc, et c’est une première en plus de trente ans, Elizabeth II et Philip passeront le réveillon dans une « bulle à six », confinés à Windsor. Rompant ainsi avec leurs si particulières coutumes.

Dans la Cour des Grands : Dix ans, un siècle, une éternité ?

La reine Elisabeth II passera-t-elle un jour la main ?
[caption id="attachment_25245" align="alignnone" width=""]© Buckingham Palace/Empics Entertainment/Photo NewsLa reine Elisabeth II passera-t-elle un jour la main ?[/caption]

Tout d’abord, chers amis, laissez-moi vous présenter, du fond du coeur, tous mes voeux les plus sincères en cette nouvelle année qui, forcément, effacera la précédente. Avanti ! Voyons devant, tout sera plus lumineux, plus apaisé et plus joyeux, c’est promis.

Dans la Cour des Grands : Stress et Payette, la monarchie vacille au Canada !

Discours de la reine Elizabeth II à l'occasion de la fête du Canada
[caption id="attachment_25410" align="alignnone" width=""]© Wayne Cuddington/Polaris/Photo NewsDiscours de la reine Elizabeth II à l’occasion de la fête du Canada[/caption]

Avouez-le : jusqu’ici, vous pensiez comme moi que le Canada, c’était le pays de la fraicheur insouciante, des caribous, de la luge et des goûters au coin du feu avec tasse de chocolat fumant et biscuits au sirop d’érable. Tabernacle ! Le royaume commence à se poser de sérieuses questions sur sa légitimité. Jusqu’il y a quelques jours, une femme cristallisait toutes les tensions : Julie Payette, la représentante de Sa Majesté Elizabeth II.

Dans la Cour des Grands : « Famille je t’aime … moi non plus ! »

La reine Elizabeth II, le duc et la duchesse de Sussex, le prince William et la princesse Catherine, duc et duchesse de Cambridge, se tiennent sur le balcon du palais de Buckingham à Londres pour regarder le défilé aérien du centenaire de la RAF en 2018
[caption id="attachment_25532" align="alignnone" width=""]© Anwar Hussein/Empics Entertainment/Photo NewsLa reine Elizabeth II, le duc et la duchesse de Sussex, le prince William et la princesse Catherine, duc et duchesse de Cambridge, se tiennent sur le balcon du palais de Buckingham à Londres pour regarder le défilé aérien du centenaire de la RAF en 2018[/caption]

C’est une tradition, semble-t-il, dans nos monarchies et elle est tenace : il est toujours une altesse pour ne pas s’en laisser conter. Un visage qui dépasse de la meute, la contemple et qui, à un moment, se retourne contre elle et s’en va paître au loin. L’aventure américaine du 6e en ordre de succession britannique n’y fait pas exception. Elle nous prend de stupeur. Mais nous renvoie, aussi, vers une certaine idée de la liberté.

Dans la Cour des Grands : Des larmes britanniques … aux sourires grand-ducaux !

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Ainsi va la vie : le monde bascule en permanence de la joie a la tristesse, de l’amertume à la réjouissance. Vendredi dernier, le Royaume-Uni pleurait son prince consort. Philip d’Edimbourg aura servi la cause de son épouse durant près de sept décennies. La mort l’a rattrapé, à deux mois de son centenaire. Mais avec vous, j’avais plutôt envie d’afficher des sourires. Car l’heureuse nouvelle, elle, est venue du Grand-Duché où le prince Louis, troisième enfant des souverains a annoncé ses fiançailles ! Papa à 19 ans, il avait renoncé à ses droits au trône pour se marier une première fois. Mais la vie est un éternel recommencement. Et la dynastie de Nassau prouve, une fois de plus, qu’elle est en phase avec son époque.